Résumé — Faire soi-même paraît moins cher au premier coup d’œil. Mais si l’on additionne matériaux, outillage, temps, finitions et sécurité, l’option prêt-à-poser devient souvent plus rationnelle… surtout pour un rendu propre et durable. Néanmoins, il est possible de créer son propre pegboard ou panneau perforé. On vous dit tout.
1) Budget : DIY vs achat, que paye-t-on vraiment ?
Coûts visibles (DIY)
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Panneau (contreplaqué ou MDF), tasseaux/entretoises éventuels
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Forets, gabarit de perçage/guide (entraxe régulier)
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Papier abrasif, huile/vernis/peinture, pinceaux/rouleaux
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Consommables (chevilles/vis adaptées au mur)
Coûts cachés (DIY)
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Temps de traçage/perçage (des dizaines à des centaines de trous)
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Ratés et reprises (trous ovalisés, entraxe irrégulier)
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Sécurité (EPI, extraction de poussière, stabilisation au perçage)
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Outillage “rare” si vous n’êtes pas déjà équipé (perceuse à colonne, gabarit précis)
Achat prêt-à-poser
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Panneau déjà percé au bon entraxe, bords propres, finition homogène
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Accessoires compatibles prêts à l’emploi
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Fixations adaptées + guide de pose
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Temps économisé (et moins de risques)
En bref : le DIY est pertinent si vous avez déjà l’outillage et du temps. Sinon, l’achat “clé en main” évite la somme des frais cachés… et des sueurs froides.
2) Les étapes du DIY (si vous tentez l’aventure)
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Choisir le matériau (contreplaqué stable recommandé pour un bel état de surface).
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Tracer la trame (entraxe régulier) et bloquer un gabarit : c’est la clé du résultat.
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Percer proprement (foret affûté, support dessous, vitesse adaptée) pour éviter l’éclatement.
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Poncer faces + chants (grain progressif), arrondir très légèrement les arêtes.
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Finition (huile/vernis/peinture) en couches fines, séchage/ébavurage entre passes.
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Contrôle : vérifier alignement et profondeur des accessoires, rigidité, fixations murales.
3) Pièges à éviter (classiques)
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Trame approximative → accessoires qui penchent ou tombent.
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Perçage “à main levée” → trous ovales, éclats en sortie.
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Finition bâclée → panneau qui tache/boit, bords rugueux.
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Charge mal répartie → porte-à-faux, vis qui travaillent seules.
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Sécurité négligée (poussières de bois, tenue des pièces, EPI).
Alors, si :
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Vous manquez d’outillage (ou d’espace de travail).
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Vous avez peu de temps et un rendu attendu “showroom”.
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Le format doit être compact et propre (entrée, cuisine, bureau).
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Vous voulez une éco-système d’accessoires compatibles (étagères sécurisées, crochets, bacs).
Nous vous proposons des options “prêtes à poser” (et évolutives)
Vous voulez un résultat net sans y passer vos week-ends ? Parcourez les pegboards muraux chez Aire et composez votre kit avec les accessoires compatibles. Besoin d’une couleur ou dimension précise ? Le sur-mesure permet d’adapter le panneau (format, teinte, perçages) à votre pièce.
Vous pouvez aussi combiner : pegboard acheté et accessoires fabriqués !
Conclusion : le DIY a du charme si vous aimez l’atelier et possédez l’outillage. Pour un mur nickel, modulable et durable, le prêt-à-poser gagne souvent… sans (mauvaise) surprise.
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